Ce n’est pas une grande originalité (ou si parce que son cinéma ne parle pas toujours à tout le monde) si je vous dit que Quentin Tarantino est celui que je considère comme l’un de mes réalisateurs favori.
Il n’empêche que ce réalisateur autodidacte à toujours eu une place dans mon cœur de cinéphile. Tout simplement parce que chaque film qu’il réalise est un petit bijou d’écriture.
Par manque d’impartialité, je n’ai pas pu écrire de critique à temps, mais Valentin Lebfevre, dit ValWho, a réussi à retranscrire à peu près l’effet que m’a fait Once Upon a Time In Hollywood a ma sortie de séance.
